Objectif Namur 2030

La ville de Namur présente sa candidature pour devenir Capitale Européenne de la Culture en 2030. Namur Capitale européenne de la Culture est un projet inclusif, ambitieux, avec pour moteur la cohésion sociale et territoriale. Cette candidature, c’est surtout un projet humain et fédérateur qui se co-construit au-delà de 2030 avec pour ambition des retombées sur le long terme et un héritage fort pour les générations à venir. Accueillir cette initiative signifie bien plus qu’organiser un programme culturel sur un an. C’est l’occasion de dynamiser le territoire, de fédérer les acteurs namurois autour d’un projet commun, d’asseoir le rôle de Namur en tant que capitale politique de la Wallonie et, plus globalement, de réenchanter les gens autour de leur territoire et de leurs racines.

QU’EST-CE QU’UNE CAPITALE EUROPÉENNE DE LA CULTURE ?

Chaque année, la Commission européenne met à l’honneur deux ou trois villes européennes en attribuant le label Capitale européenne de la culture. En 2030, une ville belge sera désignée Capitale européenne de la culture aux côtés d’une ville de Chypre. Les villes sélectionnées peuvent, le temps d’une année, promouvoir leur patrimoine et leur dynamisme culturel au travers de nombreux événements et rassemblements culturels qui rayonnent sur les territoires durant de nombreuses années et contribuent à l’attractivité touristique et économique du territoire.

AVEC ET POUR LE TERRITOIRE

Principalement accordé à des villes dites « résilientes », sachant s’appuyer sur leurs faiblesses et leurs crises pour se fixer des objectifs ambitieux sur le long terme, ce label permet de penser la culture comme un accélérateur au service de la transformation du territoire.

Devenir Capitale européenne de la culture est un projet collectif au service des toutes celles et ceux qui vivent et font vivre un territoire.

Depuis les origines du programme en 1985, plus de 60 villes ont déjà reçu ce label, dont quatre villes belges : Anvers (1993), Bruxelles (2000), Bruges (2002) et Mons (2015).

VERS 2030 ET AU-DELÀ

Devenir Capitale européenne de la culture est une ambition de transformation pour tout un territoire : il ne s’agit pas seulement d’organiser une « année festive » ou de penser un nouveau projet culturel ; c’est une démarche plus ambitieuse au service de tout un territoire et de ses générations futures.

Le titre de Capitale européenne de la culture permettra de consolider les actions entamées durant les dix dernières années sur le territoire et de mettre en oeuvre de nouveaux projets stimulants et rassembleurs en se fixant pour horizon 2050, année notamment où l’UE doit avoir atteint le zéro carbone.

POURQUOI NAMUR EST CANDIDATE ?

UN CONTEXTE

Le monde est en mutation profonde.

En rupture de confiance, les citoyens accordent encore celle-ci aux initiatives locales porteuses de sens et de valeurs. C’est incontestablement pour Namur et son territoire la vocation de la dynamique de Capitale culturelle de l’Europe : consolider les territoires et les citoyens vivant sur ceux-ci, quelles que soient leurs origines, convictions, situations socio-économiques ou orientation sexuelles; renforcer la cohésion sociale avec des projets qui distillent à nouveau de la convivialité, de la solidarité et de l’ambition; offrir des perspectives plus réjouissantes, orientées vers l’esprit positif, la conquête du bien commun et l’inclusion de tous. C’est aussi convaincre du rôle fédérateur que la culture peut jouer pour un territoire, depuis la capitale de l’Europe jusqu’à la capitale de la Wallonie.

UN PROJET FORT, LABORATOIRE POUR D'AUTRES TERRITOIRES EN EUROPE

Reconnaitre Namur comme capitale européenne de la culture en 2030, c’est permettre à une ville de taille moyenne (114 000 habitants) d’incarner ce regard positif sur l’avenir. C’est démontrer qu’un chemin peut être tracé à travers les difficultés, qu’elles soient perçues au niveau local ou international. C’est prouver que cet honneur mettra en branle l’ensemble des écosystèmes d’un territoire pour développer des projets exemplaires et surtout transposables à l’échelle du continent européen. Les bonnes pratiques ne doivent pas seulement inspirer. Elles doivent se transposer, se multiplier, gagner le cœur des villes et des peuples d’Europe. Des peuples qui ont besoin de perspectives qui réenchantent, redonnent confiance, recréent de la cohésion, du sens, et permettent à toutes les générations de croire à nouveau à demain.

UNE INSPIRATION COLLECTIVE

Notre dossier de candidature ne peut se concevoir que comme un appel à une aspiration collective, une inspiration collective. Le bicentenaire de la Belgique offrira une opportunité magnifique pour créer du lien et des projets partagés entre plusieurs territoires du royaume, aux quatre coins cardinaux de celui-ci. Il fédérera. Il rappellera, par la démonstration qui en sera faite que réunir des opinions publiques différentes, au sein d’un même territoire, fut-il belge, peut être transposé ailleurs en Europe. La culture peut irriguer les consciences et servir de ferment aux identités. Non pas celles du repli, mais celles de l’accueil.

DES RETOMBÉES CONCRÈTES

Pour une ville, accueillir cette initiative signifie bien plus qu’organiser un programme culturel sur un an. C’est l’occasion de dynamiser le territoire, de fédérer les acteurs namurois autour d’un projet commun, d’asseoir le rôle de Namur en tant que capitale politique de la Wallonie et, plus globalement, de réenchanter les gens autour de leur ville et de leurs racines.

Les retombées d’une CEC sont nombreuses :

Retombées économiques

  • Essor touristique
  • Nouveaux investissements
  • Création d’emplois

Retombées médiatiques

  • Valorisation des richesses patrimoniales
  • Développement de la programmation culturelle de la Ville
  • Hausse de sa notoriété nationale et internationale

Retombées sociales

  • Hausse de la fréquentation du territoire et de sa Région
  • Revitalisation urbaine
  • Fédération de la population autour de projets communs

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POURQUOI NAMUR EST CANDIDATE ?

UN CONTEXTE

Le monde est en mutation profonde.

En rupture de confiance, les citoyens accordent encore celle-ci aux initiatives locales porteuses de sens et de valeurs. C’est incontestablement pour Namur et son territoire la vocation de la dynamique de Capitale culturelle de l’Europe : consolider les territoires et les citoyens vivant sur ceux-ci, quelles que soient leurs origines, convictions, situations socio-économiques ou orientation sexuelles; renforcer la cohésion sociale avec des projets qui distillent à nouveau de la convivialité, de la solidarité et de l’ambition; offrir des perspectives plus réjouissantes, orientées vers l’esprit positif, la conquête du bien commun et l’inclusion de tous. C’est aussi convaincre du rôle fédérateur que la culture peut jouer pour un territoire, depuis la capitale de l’Europe jusqu’à la capitale de la Wallonie.

UN PROJET FORT, LABORATOIRE POUR D'AUTRES TERRITOIRES EN EUROPE

Reconnaitre Namur comme capitale européenne de la culture en 2030, c’est permettre à une ville de taille moyenne (114 000 habitants) d’incarner ce regard positif sur l’avenir. C’est démontrer qu’un chemin peut être tracé à travers les difficultés, qu’elles soient perçues au niveau local ou international. C’est prouver que cet honneur mettra en branle l’ensemble des écosystèmes d’un territoire pour développer des projets exemplaires et surtout transposables à l’échelle du continent européen. Les bonnes pratiques ne doivent pas seulement inspirer. Elles doivent se transposer, se multiplier, gagner le cœur des villes et des peuples d’Europe. Des peuples qui ont besoin de perspectives qui réenchantent, redonnent confiance, recréent de la cohésion, du sens, et permettent à toutes les générations de croire à nouveau à demain.

UNE INSPIRATION COLLECTIVE

Notre dossier de candidature ne peut se concevoir que comme un appel à une aspiration collective, une inspiration collective. Le bicentenaire de la Belgique offrira une opportunité magnifique pour créer du lien et des projets partagés entre plusieurs territoires du royaume, aux quatre coins cardinaux de celui-ci. Il fédérera. Il rappellera, par la démonstration qui en sera faite que réunir des opinions publiques différentes, au sein d’un même territoire, fut-il belge, peut être transposé ailleurs en Europe. La culture peut irriguer les consciences et servir de ferment aux identités. Non pas celles du repli, mais celles de l’accueil.

DES RETOMBÉES CONCRÈTES

Pour une ville, accueillir cette initiative signifie bien plus qu’organiser un programme culturel sur un an. C’est l’occasion de dynamiser le territoire, de fédérer les acteurs namurois autour d’un projet commun, d’asseoir le rôle de Namur en tant que capitale politique de la Wallonie et, plus globalement, de réenchanter les gens autour de leur ville et de leurs racines.

Les retombées d’une CEC sont nombreuses :

Retombées économiques

  • Essor touristique
  • Nouveaux investissements
  • Création d’emplois

Retombées médiatiques

  • Valorisation des richesses patrimoniales
  • Développement de la programmation culturelle de la Ville
  • Hausse de sa notoriété nationale et internationale

Retombées sociales

  • Hausse de la fréquentation du territoire et de sa Région
  • Revitalisation urbaine
  • Fédération de la population autour de projets communs

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Margaux Voglet

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margaux.voglet@ville.namur.be+32 81 24 62 39

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